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Photo du rédacteurAmandine Lippi

Un Tatouage plus que vivant

Dernière mise à jour : il y a 2 jours



Consignes / Contraintes :


Travail individuel Je créé un tatouage, donc un dessin ayant pour support la peau (le votre ne sera pas indélébile bien évidemment !) répondant à l’incitation :


" Mon tatouage est vivant ! "


Votre production finale sera une photographie. Attention au cadrage, à la lumière et à la composition de votre photo.

 

Vocabulaire :


  • In situ : Une œuvre in situ est une œuvre imaginée et réalisée pour un lieu précis et dans ce même lieu. Si l'œuvre in situ est déplacée, elle perd son sens.


  • Mouvement - support - illusion - corps


 

Compétences ciblées :


  • Expérimenter, produire, créer : Prendre en compte les conditions de la réception de sa production. Mon tatouage donne l'illusion d'un mouvement, ou d'une évolution, ou d'une interaction avec le spectateur.

  • Mettre en œuvre un projet : Mener à terme une production individuelle dans le cadre d’un projet accompagné par le professeur.


1 : Maitrise insuffisante

2 : Maitrise fragile

3 : Maitrise satisfaisante

4 : Très bonne maitrise

Expérimenter, produire, créer

Mon tatouage ne donne pas l'illusion du vivant.

Mon tatouage montre une esquisse d'illusion du vivant.

Mon tatouage donne l'illusion d'un mouvement, ou d'une évolution, ou d'une interaction avec le spectateur.

J'ai su créer la surprise chez le spectateur.

Mettre en œuvre un projet

Je n'ai pas su m'engager seul.e dans la mise en oeuvre et mon projet n'est pas terminé.

J'ai essayé de faire preuve d'autonomie mais mon projet n'est pas tout à fait abouti.

J'ai su aller au bout de mon projet.

J'ai su aller au bout de mon projet et travailler en toute autonomie.


 

Références aux champs artistique et culturel :


En 2011, le mannequin Rick Genest alias Zombie Boy participait à une publicité pour une marque de fond de teint


 

L'artiste tatoueur Veks Van Hillik Tattoo réalise des tatouage évolutifs en s'inspirant des mouvements du corps support.


 

Wim Delvoye, Tatouages sur cochons. Pour dénoncer la société de consommation, l'artiste élève des cochons dans une ferme près de Pékin. Alors qu'ils ne sont encore que des porcelets, il les fait tatouer sous anesthésie. Il les laisse ensuite vivre leur vie et les naturalise une fois morts. De leur vivant, les bêtes sont choyées, traitées comme des stars, libres de leur mouvement et filmées en continu. La démarche est censée ouvrir le débat sur la question de exploitation animale. Mais le procédé choque, notamment les associations de défense des animaux, qui dénoncent un non-respect de ces êtres vivants. Une manifestation avait d'ailleurs été organisée devant le musée de Nice le jour du vernissage en 2010.

Wim Delvoye, Tim, 2006. Wim Delvoye ne tatoue pas que des cochons. En 2006, il fait du dos de Tim Steiner, un homme suisse de 36 ans, une oeuvre d'art. Celle-ci porte le prénom de l'homme qui la porte: Tim. L'oeuvre est tatouée, signée... et mise aux enchères ! Sa vente en 2008 a fait beaucoup de bruits puisque son prix s'est élevé à 150 000 euros (partagés en parts égales entre la galerie, l'artiste et le porteur).


 

Autres références en vrac :





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